Article relevé sur Zonebourse
Prévisions Adecco: chiffre d’affaires de près de six milliards au 3e trimestre
Adecco
s’étant épanché sur la marche de ses affaires à l’occasion d’une
journée dédiée à ses actionnaires mi-septembre, soit à peine deux
semaines avant la fin du partiel, le potentiel de surprise s’annonce
limité.
Le spécialiste du placement temporaire déplorait alors une
croissance de 2% (organique comme ajustée) sur les mois de juillet et
d’août, assortie d’un ralentissement sur début septembre. Le groupe
affichait encore 4% au deuxième trimestre et avait auparavant habitué
les observateurs à un rythme de croisière de 6 à 7%.
Les analystes rappellent volontiers que les concurrents
Randstad et Manpower ont aussi accusé une perte de vitesse, mais
souligne que l’atterrissage pourrait être encore plus brutal pour
Adecco, évoquant même une probable perte du statut de numéro un du
secteur. Le néerlandais Randstad a en effet généré 6,01 milliards
d’euros de revenus, alors que les prévisions pour Adecco s’articulent en
dessous de la barre des six milliards.
La direction sera attendue au tournant sur les mesures
d’optimisation des coûts promises mi-septembre. La rentabilité demeure
pour l’heure bridée par les investissements dans la numérisation des
processus, mais les premiers fruits de ces efforts sont attendus dès
cette année.
OBJECTIFS: Adecco ne se livre pas à des prévisions à court
terme, mais compte à plus longue échéance afficher une croissance quatre
fois supérieure à celle de l’économie mondiale dans son ensemble.
D’ici mi-2020, le programme d’économies baptisé “Growtogether”
doit permettre d’épargner 250 millions d’euros d’ici 2020, dont 50
millions dès cette année. La direction a par ailleurs promis aux
actionnaires une politique “progressive” de rémunération, y compris en
cas de récession mondiale.
POUR MÉMOIRE: Adecco est demeuré pour le moins discret entre juillet et fin septembre.
COURS DE L’ACTION: le titre Adecco fait clairement partie des
cancres du SMI depuis le début de l’année, après avoir chuté de 80,10
francs suisses en janvier jusqu’à près de 45 francs suisses fin octobre.
Source : Zonebourse
Nous comprenons mieux la pression accrue et indéfinissable tant elle est extrême exercée depuis des mois. Les miracles n'existent pas. Si la direction écoutait les opérationnels qui osent dire ce qu'il en est, et pas seulement ceux qui disent ce qu'ils ont envie d'entendre, nous ne reculerions pas autant au niveau mondial !!!
Dire que nous allons passer Numéro 2 : la honte !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
VA FALLOIR QU'ILS SE BOUGENT LA HAUT : revenons aux basiques !!!!!!!!
c'est tout simplement la conséquence du manque de vision de nos dirigeants, de tous les changements de cap ! bref c'est la losse et je vous parle pas de la com que va faire Randstad : ils vont pas se priver ………………