Du 26 décembre au 2 janvier, rediffusions
Article publié le 27 novembre dernier
Selon les chiffres officiels nous nous rapprocherions tout doucement de
l’objectif initial du nombre de départs souhaité pour ce Plan de départ
volontaire. Faut-il cependant accorder confiance aux chiffres officiels ?
Chacun apportera sa réponse à cette impertinente question. Certains
acceptent sans ciller les chiffres officiels du chômage, de l’inflation
ou de la délinquance tandis que d’autres, se référant sans doute à des
indicateurs différents, préfèrent toujours conserver une prudente
réserve. Nous resterons donc sur le mode conditionnel.
l’objectif initial du nombre de départs souhaité pour ce Plan de départ
volontaire. Faut-il cependant accorder confiance aux chiffres officiels ?
Chacun apportera sa réponse à cette impertinente question. Certains
acceptent sans ciller les chiffres officiels du chômage, de l’inflation
ou de la délinquance tandis que d’autres, se référant sans doute à des
indicateurs différents, préfèrent toujours conserver une prudente
réserve. Nous resterons donc sur le mode conditionnel.
Il y aurait au total plus de 450 projets validés par l’EMP et rappelons
pour mémoire que l’objectif initial était de 530 équivalents temps plein
mais attention, cette validation par l’EMP n’équivaut évidemment pas à
une certitude de départ loin de là.
Pour les deux grandes catégories de salariés concernés par ce plan, les
fonctions “support” et les fonctions “réseau”, l’objectif initial serait
respectivement atteint à plus de la moitié pour les uns et à près de
trois-quart pour les autres. Nous avions évoqué, avant même l’ouverture
du plan, la difficulté spécifique d’employabilité de nombre de chargés
de mission dont la fonction en interne peinerait plus ou moins, selon
nous, à s’exporter sur le marché du travail. Les fonctions “réseau”,
plus lisibles, nous apparaissaient de transfert plus aisé.
fonctions “support” et les fonctions “réseau”, l’objectif initial serait
respectivement atteint à plus de la moitié pour les uns et à près de
trois-quart pour les autres. Nous avions évoqué, avant même l’ouverture
du plan, la difficulté spécifique d’employabilité de nombre de chargés
de mission dont la fonction en interne peinerait plus ou moins, selon
nous, à s’exporter sur le marché du travail. Les fonctions “réseau”,
plus lisibles, nous apparaissaient de transfert plus aisé.
Concernant les “P2” dont un “P1” pourvoira le poste il n’y aurait, à ce
jour, que moins de 10 dossiers validés pour un départ à l’externe
auxquels s’ajoutent quelques-uns en attente, ce qui semble évidemment
bien peu au regard de nombre de vocations à la sortie.
Concernant la mobilité interne, c’est le grand cafouillis. Les salariés
mutés, déjà en fonction, n’ont toujours pas reçu le moindre avenant, ni
la moindre confirmation écrite un peu officielle de leur mutation. Ils
sont loin d’être au clair avec leur rémunération qui souvent ne leur a
été révélée qu’après leur acceptation du poste et qui s’est parfois
avérée être la mauvaise surprise du chef… Quant à la prime
semestrielle liée à leur poste d’origine, personne ne sait encore la
part qu’ils en percevront. Nous avons déjà évoqué ce point crucial le 5
novembre dernier dans notre article “La question (qui fâche) du jour” sans que cela n’ait en rien provoqué la moindre réaction de nos dirigeants. La rémunération est-elle devenue un sujet tabou ?
Demain sur ce blogue :
Fiscalité des indemnités de PDV :
vers un énorme scandale ?