“C’est insupportable”, “Il en faut de la patience !”, “Qu’est-ce qu’on perd comme temps !”… Voici quelques-unes des réflexions que chacun peut entendre dès que l’on évoque l’informatique. Et encore, nous choisissons les plus polies…
On nous avait annoncé de gros investissements prometteurs et on allait voir ce qu’on allait voir. A nous l’informatique subsonique et les excès de vitesse sur le clavier. Hélas, comme souvent, al réalité est moins affriolante que les promesses sur le sujet. On dit que l’origine des trois “w” (www.) ce serait “wait…wait…wait…”. Humour ou réalité ? On est en droit de se poser la question.
Comble du comble, à un salarié qui se plaignait de dysfonctionnements importants de l’informatique, il fut répondu : “Nous n’y pouvons rien, ces fonctions sont effectuées par notre sous-traitant HP. Nous n’avons plus la main”.
Voici une réponse pour le moins maladroite. Que l’entreprise ait externalisé certaines fonctions, c’est son droit mais que l’on avoue une perte de maîtrise et une quelconque fatalité, c’est inadmissible.
Notre suggestion du jour : et si en 2010 c’était les actionnaires qui se mettaient un cran supplémentaire à la ceinture pour permettre à l’entreprise d’importants investissements sur notre outil principal et même unique ? Nous allons quand même attendre leur réponse avant de lancer les investissements.
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