– depuis que vous avez un ou des mandats représentatifs du personnel l’attitude de votre hiérarchie à votre égard s’est-elle modifiée ?
– Faites-vous l’objet d’attitudes dévolarisantes et déplaisantes que vous ne ressentiez pas auparavant ?
– le contenu de votre poste s’est-il modifié dans un sens régressif ?
– Avez-vous moins de responsabilités ?
– L’évolution de votre rémunération a-t’elle été affectée ?
– avez-vous le sentiment d’être moins impliqué dans la marche de l’entreprise ?
– recevez-vous moins d’informations de la part de la hiérarchie ou de la direction de l’entreprise ?
– Etes-vous convié(e) à moins de formations ou réunions que vos collègues non syndiqués ou élus ?
– ressentez-vous des pressions et des incitations à quitter l’entreprise ?
Il y aurait bien sûr des dizaines de déclinaisons possibles de ces questions de base, en fonction des réalités de chacun, de sa fonction, de son rang hiérachique, de l’entreprise dans laquelle il ou elle travaille, etc.