Adecco et Alter, les deux
agences de travail temporaire ont signé un partenariat pour faciliter
l’insertion sociale via le travail temporaire, dans les Côtes-d’Armor.« C’est un partenariat et non pas un rapprochement capitalistique », insistent les deux agences de travail temporaire.
agences de travail temporaire ont signé un partenariat pour faciliter
l’insertion sociale via le travail temporaire, dans les Côtes-d’Armor.« C’est un partenariat et non pas un rapprochement capitalistique », insistent les deux agences de travail temporaire.
Alter
est une agence d’intérim, implanté à Saint-Brieuc et Guingamp dans le
département. Elle fonctionne avec les mêmes tarifs, charges et statut
que n’importe quelle autre agence d’intérim. Mais elle s’est fixée pour
mission l’insertion des chômeurs de longue durée, des femmes isolées et
des jeunes sans emploi. Avec une stratégie originale depuis sa création
en 1995 : recomposer des emplois à plein-temps en proposant sur douze
mois des postes différents qui, reconduits d’année en année, redonnent
une stabilité professionnelle à un public « défavorisé ».
est une agence d’intérim, implanté à Saint-Brieuc et Guingamp dans le
département. Elle fonctionne avec les mêmes tarifs, charges et statut
que n’importe quelle autre agence d’intérim. Mais elle s’est fixée pour
mission l’insertion des chômeurs de longue durée, des femmes isolées et
des jeunes sans emploi. Avec une stratégie originale depuis sa création
en 1995 : recomposer des emplois à plein-temps en proposant sur douze
mois des postes différents qui, reconduits d’année en année, redonnent
une stabilité professionnelle à un public « défavorisé ».
« Les
gens qui se retrouvent brutalement au chômage se jettent aussitôt sur
des petits boulots pour évacuer l’angoisse, observe Dominique Lebailly,
gérant d’Alter. Un tourneur-fraiseur va se retrouver manutentionnaire
et, de petits contrats en petits contrats, perdre sa qualification,
entrer dans une logique de précarité. Nous essayons de changer cela. »
gens qui se retrouvent brutalement au chômage se jettent aussitôt sur
des petits boulots pour évacuer l’angoisse, observe Dominique Lebailly,
gérant d’Alter. Un tourneur-fraiseur va se retrouver manutentionnaire
et, de petits contrats en petits contrats, perdre sa qualification,
entrer dans une logique de précarité. Nous essayons de changer cela. »
« On fait plus que de l’intérim »
Alter
et Adecco vont donc allier leur savoir-faire et proposer une offre
conjointe. Objectif : faire accéder durablement vers l’emploi, un plus
grand nombre de personnes en difficultés. « On fait bien plus que de
l’intérim. Nous sommes un vrai tremplin vers l’emploi et nous sommes
convaincus que l’insertion sociale passe par le travail, y compris
temporaire », confirme Alain Dehaze, président du groupe Adecco, en France qui affiche 6 milliards d’euros de chiffre d’affaires. « 36 % des personnes passées par nos agences ont un CDI ou un CDD de plus de 6 mois dans les 24 mois. »
et Adecco vont donc allier leur savoir-faire et proposer une offre
conjointe. Objectif : faire accéder durablement vers l’emploi, un plus
grand nombre de personnes en difficultés. « On fait bien plus que de
l’intérim. Nous sommes un vrai tremplin vers l’emploi et nous sommes
convaincus que l’insertion sociale passe par le travail, y compris
temporaire », confirme Alain Dehaze, président du groupe Adecco, en France qui affiche 6 milliards d’euros de chiffre d’affaires. « 36 % des personnes passées par nos agences ont un CDI ou un CDD de plus de 6 mois dans les 24 mois. »
Adecco
a développé son réseau insertion depuis quinze ans, maintenant. En plus
de ses 45 agences d’intérim en Bretagne, le groupe dispose d’un réseau
de 64 agences d’insertion. Environ 8 000 personnes par an sont
accompagnées par ce réseau qui a dispensé, 62 000 heures de formation,
l’an dernier et réussit à placer 2 500 personnes sur des postes
équivalents temps plein. « Nous insérons également des personnes handicapés : 3 500 l’an dernier ont accédé à l’emploi dans plus de 9 000 entreprises. »
a développé son réseau insertion depuis quinze ans, maintenant. En plus
de ses 45 agences d’intérim en Bretagne, le groupe dispose d’un réseau
de 64 agences d’insertion. Environ 8 000 personnes par an sont
accompagnées par ce réseau qui a dispensé, 62 000 heures de formation,
l’an dernier et réussit à placer 2 500 personnes sur des postes
équivalents temps plein. « Nous insérons également des personnes handicapés : 3 500 l’an dernier ont accédé à l’emploi dans plus de 9 000 entreprises. »
Bruno ALVAREZ.
Source : Ouest-France
Demain sur ce blogue :
Vos élus confrontés au délit d’entrave au fonctionnement du CHSCT
Mercredi prochain :
Les pratiques peu ragoûtantes des copains et des coquins