L’inspection des finances préconise la suppression des chèques vacances
« Les chèques vacances apparaissent comme un complément de
rémunération. Ils sont alloués aux salariés qui partent en vacances. Le
caractère redistributif ou, au contraire, anti-redistributif (favorisant
les plus riches) de cette mesure n’est pas évident, ce qui peut
s’avérer paradoxal s’agissant d’une mesure sociale. La mission suggère
de revoir les exonérations dont bénéficient ce dispositif », affirme le
rapport « Pour des aides simples et efficaces au service de la
compétitivité », rendu en juin par l’Inspection Générale des Finances.
rémunération. Ils sont alloués aux salariés qui partent en vacances. Le
caractère redistributif ou, au contraire, anti-redistributif (favorisant
les plus riches) de cette mesure n’est pas évident, ce qui peut
s’avérer paradoxal s’agissant d’une mesure sociale. La mission suggère
de revoir les exonérations dont bénéficient ce dispositif », affirme le
rapport « Pour des aides simples et efficaces au service de la
compétitivité », rendu en juin par l’Inspection Générale des Finances.
Le
rapport préconise d’envisager la suppression de l’exonération des
cotisations sociales qui s’applique sur la participation de l’employeur.
Une exonération évaluée à 50 millions d’euros par an alors que 3,7
millions de salariés bénéficient des chèques vacances.
rapport préconise d’envisager la suppression de l’exonération des
cotisations sociales qui s’applique sur la participation de l’employeur.
Une exonération évaluée à 50 millions d’euros par an alors que 3,7
millions de salariés bénéficient des chèques vacances.
Une
suppression d’exonération qui scellerait la fin du titre de vacances
alors que le même rapport préconise en revanche de conserver
l’exonération (290 millions d’euros) applicable sur les
titres-restaurant. Un rapport qui souligne par ailleurs que « ces
mesures bénéficient indirectement aux secteurs du tourisme et de la
restauration ».
suppression d’exonération qui scellerait la fin du titre de vacances
alors que le même rapport préconise en revanche de conserver
l’exonération (290 millions d’euros) applicable sur les
titres-restaurant. Un rapport qui souligne par ailleurs que « ces
mesures bénéficient indirectement aux secteurs du tourisme et de la
restauration ».
Source : Miroir social