Du 14 août au 4 septembre, rediffusion du meilleur de l’année
Publié le 2 octobre 2012 :
Hier, c’était le grand jour, je
jour “J”, celui de la fusion des marques Adecco et Adia mais surtout
celui de la disparition d’une marque historique dans le travail
temporaire. Créée en 1957, la marque pouvait s’enorgueillir de 55 années
de bons et loyaux services auprès des entreprises de toute nature.
Comme on dit, cela fait partie de la vie des entreprises mais on ne peut
s’empêcher de ressentir plus qu’un pincement au cœur lorsqu’une
enseigne emblématique disparait.
Je
ne vous ferai pas le coup de la nouvelle page qui s’écrit, ni d’un
avenir radieux, etc., mais néanmoins cela ne nous empêche pas de
compatir à ce que ressentent et vivent en ce moment la plupart de nos
collègues ex-Adia. Faisons tout ce qui est possible pour faciliter leur
intégration au sein de l’entreprise et leur donner envie de continuer
avec nous.
ne vous ferai pas le coup de la nouvelle page qui s’écrit, ni d’un
avenir radieux, etc., mais néanmoins cela ne nous empêche pas de
compatir à ce que ressentent et vivent en ce moment la plupart de nos
collègues ex-Adia. Faisons tout ce qui est possible pour faciliter leur
intégration au sein de l’entreprise et leur donner envie de continuer
avec nous.
On
ne peut néanmoins qu’être déçu par la maigre – c’est le moins qu’on
puisse dire – communication de l’entreprise sur le sujet. Hormis la
longue et touchante communication du Directeur opérationnel de l’Ouest,
c’est d’un morne silence que fut accompagnée cette journée pourtant
exceptionnelle. Certes, nous ne demandions ni Champagne, ni feu
d’artifice, pas davantage d’oraison funèbre mais quelques gestes et
symboles forts et simples eussent été les bienvenus. Ils n’ont pas été
au rendez-vous et rien de remarquable n’a marqué la journée de cette
fusion. Dommage.
ne peut néanmoins qu’être déçu par la maigre – c’est le moins qu’on
puisse dire – communication de l’entreprise sur le sujet. Hormis la
longue et touchante communication du Directeur opérationnel de l’Ouest,
c’est d’un morne silence que fut accompagnée cette journée pourtant
exceptionnelle. Certes, nous ne demandions ni Champagne, ni feu
d’artifice, pas davantage d’oraison funèbre mais quelques gestes et
symboles forts et simples eussent été les bienvenus. Ils n’ont pas été
au rendez-vous et rien de remarquable n’a marqué la journée de cette
fusion. Dommage.