L’heure des élections professionnelles approches et par conséquent l’heure des bilans aussi. Nous évoquions le 27 avril dernier, l’art et la manière de choisir son organisation syndicale dans un article au titre explicite : “Comment bien choisir son syndicat” et les critères proposés peuvent aussi constituer une précieuse aide au choix.
Une élection c’est l’occasion idéale d’effectuer un bilan des actions et réalisations, sans fioritures et sans faux-semblants. Bien sûr il existera toujours le syndicat “yakafokon” vous expliquant que si le soleil se lève à l’Est et se couche à l’Ouest, c’est grâce à lui et que tout ce qui advient de bon lui est dû, tandis que tout ce qui peut s’avérer négatif est imputable aux autres ou à pas de chance. A chaque timide geste de la direction en faveur des salariés, ce serait lui le grand manitou en arrière-plan mais à chaque reculade et rabotage ce serait l’incompétence des autres. Vous en connaissez sans doute mais pareilles fanfaronnades infantiles trompent-elles encore grand monde ? Nous osons espérer une réponse négative à cette question et osons affirmer clairement que cela ne trompe plus que ceux qui ont vocation à l’être tout comme il se trouvera toujours, au-delà de l’inévitable aspect économique, des amateurs d’imitation préférant la copie à l’original. C’est ainsi.
Nous nous contenterons d’évoquer, avec le langage de vérité qui nous est reconnu par beaucoup, nos réalisations, nos actions, nos implications tout au long de ces presque quatre années révolues. Nous évoquerons, évidemment, la gestion du Comité central d’entreprise et les innombrables réalisations et mises en oeuvre mais aussi l’action au quotidien, aux côtés des salariés, nos interventions sur des situations délicates, notre action quotidienne pour que l’entreprise accorde au dialogue social toute sa place et oublie ses répulsions d’un autre âge.
Pour que ce début de bilan soit interactif, n’hésitez pas à nous écrire pour nous poser toutes les questions que vous souhaitez et nous y répondrons dans toute la mesure du possible. Zéro tabou et liberté d’expression présideront à cette sorte de tribune improvisé. Ne sont généralement censurés que les dénigrements de quelques “yakafokon” embusqués derrière leur PC nous expliquant dans un anonymat rageur tout le mal qu’il faudrait penser des organisations syndicales et de leur prétendue incompétence. La critique est aisée mais l’art est difficile affirme-t-on avec sagesse… Ces quelques grincheux ne peuvent faire oublier les très nombreux témoignages de soutien que nous recevons tout au long de l’année. Que leurs auteurs en soient ici remerciés collectivement.
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La contribution totalement expliquée