De toutes parts des remontées nous font état d’un niveau de pression sur les équipes jamais atteint à ce jour. Nous n’en sommes plus à la fébrilité ou à la pétoche mais carrément à la panique, une panique si mauvaise conseillère dans ces moments où il conviendrait bien au contraire de garder autant que faire se peut la tête froide.
Il n’est plus question que de visites, encore et toujours plus de visites, comme si l’ensemble des tâches et obligations de gestion, de management et les logiciels et reports compulsifs d’information en laissait le temps. Puis bien sûr il est quotidiennement question du TAC et de revalorisation mais ces incantations magiques tardent, c’est le moins qu’on puisse dire, à manifester leurs effets bénéfiques. Elles ont déjà beaucoup donné et comme l’affirme le proverbe “tant va la cruche à l’eau qu’à la fin elle se brise”. Tous les indicateurs ou presque continuent désespérément de se dégrader et notamment, le plus attendu de tous et sans doute le plus sensible, celui des parts de marché. Quant à l’atteinte du budget, il ne s’agit plus que d’une lointaine hypothèse, un aimable souvenir à savourer dans un état second.
Depuis des années nous alertons sur quelques évidences, des intuitions récurrentes et des suggestions qui ne doivent rien au génie mais plutôt au bon sens et à l’expérience. Mais, rien à faire, le commandant a verrouillé à double-tour les portes d’accès à la passerelle tandis que les soutiers, noirs de charbon et luisants s’éreintent à colmater des voies d’eau de plus en plus menaçantes. La pression sur les équipes n’opère plus et l’on pourrait tenter la formule “trop de pression tue la pression”.
De plus, Zonebourse observait il y a peu qu’il n’existe pas pour le groupe Adecco “de signe de rebond à court terme”.
Pendant ce temps, dans une autre galaxie, des entreprises d’intérim coulent des jours heureux en se gavant des affaires que les majors ne parviennent plus à capter. Certains surfant même sur la notion d’intérim “phygital”, néologisme à finalité marketing destiné à qualifier un intérim basé sur le meilleur du physique et du digital et donc bien éloigné des nuées du “full web” et du tout-IAG. Ayant bien intégré que la prestation d’intérim repose avant tout sur une relation entre l’agence, les clients et les intérimaires, ce qui n’exclut en rien d’y ajouter les bénéfices que peut offrir la technologie. Le métier de l’intérim repose avant tout sur une connaissance et une proximité physiques des acteurs de la profession avec leurs clients et leurs intérimaires. Répondre à un besoin précis, en temps voulu, au gré des saisonnalités et des pics d’activité, connaitre l’état de santé des clients et prospects, leurs projets, leurs difficultés aussi nécessite une connaissance réciproque et un suivi de proximité que ne pourront jamais vraiment procurer les huit heures quotidiennes d’écran et de clavier. Raisonnement désuet, passéiste ? Peut-être, mais au-delà des convictions et intuitions, contentons-nous de compter les points tout en escomptant une réaction rapide et adaptée de notre direction.
Bravo pour ton article cher ami !!
Tout est dit
La direction en panique et allume au maxi le feu sous la “COCOTTE”
La pression monte de toute part et c’est aux DAs d’absorber la pression pour ne pas que les équipes lâchent.
La plupart des DZ sont incapable de filtrer cette pression et la redistribuent tout de Go aux DAs.
Les jeunes DAs inexpérimentés (ils sont de plus en plus nombreux) et certains autres ayant peur pour leur place transmettent intégralement cette pression chaque jour aux équipes qui finissent par alimenter de plus belle le Turn Over incessant des agences et autres HUB, ou se découragent et perdent en efficacité. Nos clients ne sont pas dupes et se tournent de plus en plus vers une concurrence plus efficace car plus à l’aise dans leurs agences.
Les DAs les plus anciens quand à eux résistent mais jusqu’à quand ???
Rien de nouveau malheureusement un conseil gardez la tête froide et faites du business comme vous l entendez
Rassurez vous ils ne peuvent pas virer tout le monde et la société n est pas en liquidation
La stratégie vient de qui ? Il est que le responsable parte et que nous reprenions nos esprits et le bon sens qui nous caractérise
Cette politique profite à la concurrence qui gagne en pdm pendant que nous perdons en agilité et devons continuer à supporter la pression. Ça va devoir durer combien de temps encore ?
La direction s entête dans sa position alors que les PDM dégringolent et la faute n est pas à remettre sur le réseau mais bien à la rémunération et à la stratégie
Il y a des decisions a prendre et il est temps que quelqu’un les prenne sinon on va finir l’année en dessous des 10% de PDM
Confirmation cette semaine que c’est panique générale à tous les étages de l’entreprise.
Il faut mettre du TT en poste et peu importe la manière. On met de côté la compliance, le juridique, le CDI I, il faut du monde au planning.
Nos actionnaires veulent de la rentabilité alors bougez vous bande de fainéant !
Que vous soyez 1, 2, 3 , 4, … en agence et en sous effectif chronique, Denis la malice, Geraldo le technico commercial, fifi brin d’acier et Manue blondie blonde ont les fesses tremblantes.
A QUAND UNE DISSOLUTION DE NOTRE DIRECTION ?
Pourquoi chercher 10 solutions pour régler notre chute dans les abîmes des PDM.
-1- La réductions des effectifs,
-2- La pression sur le Perm,
-3- La pression sur le CDI I,
-4- L’animation du TAC,
-5- La gestion de la Compliance,
-6- L’envoi des gestion chez Quapa,
-7- Les transferts chez Onsite,
-8- La pression sur le BTP,
-9- La pression sur le Tertiaire,
-10- La revalo de l’été,
Rien de ses dix stratégies ne fonctionne aujourd’hui en tout cas de la façon dont elle sont animés par notre Direction. Alors que fait-on quand on constate que rien ne marche ?
Il est temps d’avoir un peu de courage et de prendre exemple sur notre Président de la République, Messieurs les membres de la direction prenez vos responsabilités, donnez nous la paroles et hop du balai…