Théoriquement et sans prendre en compte certaines variables (taux AT de l’agence, trajet de travail plus long, etc.)
La CFE CGC a fait connaître son désaccord sur la baisse des taux d’intéressement ainsi calculés à la baisse.
Mais, parallèllement, dans d’autres cas de fusions, les taux sont maintenus à l’identique, ce qui revient à augmenter substantiellement les rémunérations. Nous ne pouvons qu’être favorables à une augmentation de salaire mais pourquoi ce régime à deux vitesses ? Pourquoi deux poids et deux mesures ?
Nous poserons la question au prochain Comité d’Etablissement de septembre et vous aurez la réponse sur ce blog (ou sur notre nouveau site !). En attendant, écrivez-nous pour nous faire part de votre cas.